L’alif des créatures,
Le Pôle de tous les mondes,
Secours des êtres de l’infime et de la grandeur,
Toujours le regard de l’unique
S’incline tendrement vers lui…
Il est plus puissant qu’un roi
Mais il se tient derrière les voiles
Dans un isolement volontaire,
Nul, sans permission, n’entre dans son palais
Nul ne parvient devant son alcôve,
A la cime du coeur immense de l'ange Israfil.
Il est le centre où tout se réunit,
Il est le coeur irradiant qui vivifie.
Il est le maître des deux assesseurs,
Il est le prince de la droite et de la gauche,
Il possède la pleine vision du dedans et du dehors.
Le Pôle de tous les mondes,
Secours des êtres de l’infime et de la grandeur,
Toujours le regard de l’unique
S’incline tendrement vers lui…
Il est plus puissant qu’un roi
Mais il se tient derrière les voiles
Dans un isolement volontaire,
Nul, sans permission, n’entre dans son palais
Nul ne parvient devant son alcôve,
A la cime du coeur immense de l'ange Israfil.
Il est le centre où tout se réunit,
Il est le coeur irradiant qui vivifie.
Il est le maître des deux assesseurs,
Il est le prince de la droite et de la gauche,
Il possède la pleine vision du dedans et du dehors.
Jean d'Armelin
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